Supports de cours informatiques gratuits

Posted on jeudi 26 avril 2007 by Stéphane Leprince

Une nouvelle section pour vous, des liens vers sites proposant des supports de cours gratuits.

Oui, je sais, ça fait un bon paquet de liens, et ça devient le bazar, mais peut être un jour un Yooztic sur Joomla réapparaitra pour mieux organiser tout ça.

Premier de cette nouvelle liste: le sitePolymorphe ( http://www.polymorphe.org/index.php)

Quand Sarkozy aura le numérique entre les mains

Posted on mardi 24 avril 2007 by Stéphane Leprince


Et voilà un article qu'il fait peur dans cette dernière ligne droite des élections.

Il est temps de faire front, et de se rallier au "tous contre sarko".

Voici ce qu'il nous attend concernant Internet à travers la copie de cet article publié par LE MONDE du 20 avril 2007 par Philippe Jannet et relayé par Dark Vadoc


L'article:

L'Etat veut-il tuer Internet en France ?, par Philippe Jannet

LE MONDE 20.04.07
iscrètement, en marge de la campagne, le gouvernement prépare un décret qui, s'il était appliqué, tuerait l'Internet "made in France". En effet, sous prétexte de surveiller au plus près les internautes, un décret d'application de la loi sur la confiance dans l'économie numérique du 21 juin 2004, exige que les éditeurs de sites, les hébergeurs, les opérateurs de téléphonie fixe et mobile et les fournisseurs d'accès à Internet, conservent toutes les traces des internautes et des abonnés au mobile, pour les délivrer à la police judiciaire ou à l'Etat, sur simple demande.
Au-delà du coût incroyable que cette conservation représenterait, cette mesure ne pourrait que déclencher une défiance immédiate des Français à l'égard de leur téléphone mobile ou fixe, comme à l'égard des acteurs français d'Internet, assassinant instantanément l'économie numérique française, pourtant décrite comme stratégique par nos chers candidats.
Le décret en préparation exprime le fantasme "Big Brother" : tout savoir sur tout et tous, même l'impossible. Selon ce texte, les opérateurs téléphoniques, les fournisseurs d'accès à Internet, les hébergeurs et les responsables de services en ligne (sites Web, blogs, etc.), devraient conserver pendant un an à leurs frais toutes les coordonnées et traces invisibles que laissent les utilisateurs lors d'un abonnement téléphonique ou à Internet, lors de leurs déplacements avec un téléphone allumé, lors de chaque appel ou de chaque connexion à Internet, de chaque diffusion ou consultation sur le Web d'un article, d'une photo, d'une vidéo, ou lors de chaque contribution à un blog.
En substance, devraient être conservés les mots de passe, "pseudos", codes d'accès confidentiels et autres identifiants, numéros de carte bancaire, détails de paiement, numéros de téléphone, adresses e-mail, adresses postales, le numéro de l'ordinateur ou du téléphone utilisé, le moyen d'accès à un réseau, les date et heure d'appel, de connexion et de chacune de leurs consultations ou contributions sur un site Internet.
A tant vouloir être exhaustif, le texte imposerait d'identifier quiconque, en France, aura mis en ligne, modifié ou supprimé une virgule dans son blog, un "chat", ou sur le Web. Techniquement, on peut, certes, tenter de savoir qui s'est connecté à un site et constater sur Internet ce qu'il diffuse à un instant donné.
Mais en cherchant à conserver la trace de la publication d'un contenu qui aura, par la suite, été retiré, le texte impose de facto de mémoriser systématiquement tout ce qui est mis en ligne, modifié et supprimé sur "l'Internet français". De l'avis unanime des spécialistes, c'est économiquement et techniquement impossible. Même les Etats-Unis de George W. Bush et leur "Patriot Act" post-11-Septembre n'ont jamais envisagé pareille conservation ou réglementation, qui soulèverait sans doute l'opinion publique américaine d'aujourd'hui, mais s'opère sans bruit en France.
Le coût, aussi bien pénal qu'économique, d'un tel dispositif serait colossal pour la France. En cas de résistance, ou juste de passivité, la sanction encourue est lourde : les fournisseurs d'accès à Internet ou les sites Internet français qui ne conserveraient pas toutes ces données seront passibles de 375 000 euros d'amende et leurs dirigeants, d'un an d'emprisonnement et 75 000 euros d'amende, sans compter la fermeture de l'entreprise, l'interdiction d'exercer une activité commerciale, etc.
Lors d'une réunion organisée en catimini le 8 mars 2007 par les ministères de l'intérieur et des finances - le ministère de la justice jouait, une nouvelle fois, les absents -, certains professionnels ont fait valoir, notamment, que cette conservation leur coûterait très cher en stockage informatique et en moyens humains. De plusieurs dizaines de milliers à plusieurs millions d'euros par an de perte nette.
Pourtant, la plupart des sites Web, les Web radios, les blogs, la vidéo à la demande ou mobile, sont encore en quête d'un modèle économique pérenne. Déjà insécurisée par la complexité des enjeux de propriété intellectuelle, l'économie numérique de demain - celle du contenu et pas seulement de l'accès - serait encore fragilisée par une telle surenchère réglementaire franco-française.
En imposant aux entreprises françaises d'être des auxiliaires de justice ou des "indics", l'Etat fragilise tout un pan de l'économie de demain et de la démocratie d'aujourd'hui, en favorisant qui plus est, la domination déjà outrancière des grands acteurs internationaux de l'Internet, qui ne seront pas impactés à l'étranger. Jusqu'alors, seuls les fournisseurs français d'accès à l'Internet et hébergeurs étaient soumis à cette exigence et l'Etat, qui avait promis des compensations financières aux coûts induits par une surveillance des moindres faits et gestes de leurs clients, met tant de mauvaise grâce à s'acquitter des indemnités dues que certains d'entre eux ont renoncé à en réclamer le règlement, préférant envisager la délocalisation pure et simple de leurs activités...
Ces menaces proférées par quelques poids lourds de l'Internet en France font sourire Bercy, qui semble n'avoir pas encore compris qu'Internet est un réseau mondial dont de nombreux prestataires peuvent s'établir et payer leurs impôts presque où bon leur semble.
Il reste que la confusion des genres est totale. Toutes les données conservées seraient accessibles à la police administrative (RG, DST, etc.) comme à la police judiciaire, pendant un an. Les réquisitions administratives pour la "prévention du terrorisme" seraient également conservées un an dans des fichiers tenus par les ministères de l'intérieur et de la défense. Les réponses à ces mêmes réquisitions - nos traces, donc - seraient, pour leur part, conservées pendant trois ans supplémentaires et communicables à la police judiciaire.
Ainsi, des données récoltées sur la base de requêtes administratives initialement motivées par la prévention du terrorisme pourraient se retrouver dans le dossier d'un juge d'instruction en charge d'une affaire de droit à l'image, de diffamation ou de contrefaçon, par exemple, sans que les personnes mises en cause par des traces informatiques vieilles de 4 ans, puissent connaître - ni contester - l'origine ou la pertinence de ces données, ni le contexte dans lequel elles avaient été recueillies, en dehors de toute procédure judiciaire, sans magistrat ni contradictoire, quatre ans auparavant.
Ce projet de décret constitue donc une véritable menace de mort. Il est inquiétant pour trois raisons essentielles. D'abord, le coût. A vouloir faire conserver et restituer par les entreprises, sous peine d'investissements à perte, de prison et d'amendes, des traces qu'elles n'ont pas de raisons ou de possibilité d'avoir, la France créerait une distorsion de concurrence au détriment de sa propre économie numérique, pourtant motrice de notre croissance. Un internaute choisira plus aisément un site non surveillé qu'un site français pour s'informer, même s'il n'a rien à craindre de sa recherche.
Ensuite, la confusion entre le renseignement d'Etat et la justice, qui relègue la séparation des pouvoirs au rang de fiction juridique. Enfin, le risque qu'un tel dispositif ferait peser sur la régularité des procédures judiciaires au regard de notre procédure pénale. C'est-à-dire le risque de priver une politique de sécurité de toute efficacité.
Certes, le gouvernement consultera la CNIL, brandie en épouvantail par les ministères. Mais l'avis de celle-ci, même défavorable, sera dépourvu du moindre effet juridique depuis la refonte de la loi informatique et libertés intervenue en 2004. Certes, l'équilibre entre sécurité, croissance, libertés et efficacité est complexe. Au demeurant, aucune de ces valeurs ne s'illustre dans ce projet de décret, dont la rédaction est aujourd'hui laissée à un consensus entre technocrates et techniciens qui, quels que soient les résultats des échéances électorales, seront encore là demain.
Ce qui pourrait n'être qu'un décret illisible de plus est aujourd'hui une menace de mort pour le développement du numérique en France et pour tous les acteurs concernés de près ou de loin par celui-ci, de la presse aux blogueurs, en passant par la grande distribution, les opérateurs de téléphonie, les fournisseurs de logiciels, les fabricants d'ordinateurs, etc.
Sous prétexte de lutter contre la menace réelle du terrorisme, l'Etat français prend - comme aucun autre - le risque de tuer une part non négligeable de l'avenir du pays, sans aucun état d'âme et dans le silence assourdissant d'une campagne présidentielle omniprésente sur Internet, mais muette sur le développement de l'Internet.
Philippe Jannet est président du Groupement des éditeurs de sites en ligne (Geste).
Le Geste regroupe les principaux éditeurs de sites en ligne français, qu'il s'agisse de portails généralistes (Yahoo ! France, Google), d'organismes ou d'entreprises (INA, UFC Que choisir, Manpower, Comareg, France Télécom, Bouygues Télécom, etc.), ou encore de sites de chaînes de télévision (TF1, France télévision, M6, etc.), de radios (Radio France, Skyrock, RTL, RFI, etc.), d'agences (AFP), de journaux (Le Figaro, Les Echos, Libération, Le Monde, L'Equipe, Le Point, L'Express, Le Nouvel Observateur, Le Parisien et les journaux du groupe Hachette Filipacchi Multimedia, etc.).

Article paru dans l'édition du 21.04.07

Google rachète Doubleclick pour 3,1 milliards de $

Posted on lundi 23 avril 2007 by Stéphane Leprince

C'était déjà dans le vent depuis quelques semaines, la rumeur s'était enflée la semaine dernière, c'est désormais chose faite : Google a officiellement annoncé le rachat de la régie publicitaire Doubleclick pour 3,1 milliards de $, soit le double de la somme déboursée pour racheter YouTube.

L'opération permet à Google de mettre la main sur une régie publicitaire importante mais surtout sur son outil de tracking Dart, qui va lui permettre d'obtenir de nombreuses informations sur les internautes (Doubleclick gère 1 500 clients pour un CA de 300 millions de $) et enfin de prendre pied sur un marché publicitaire sur lequel il est en train de s'étendre de façon énorme, ce qui ne devrait pas laisser indifférent bon nombre d'acteurs majeurs du domaine, notamment en Europe...
De plus, il coupe l'herbe sous le pied de ses concurrents, et notamment de Microsoft, qui était fortement attiré par le rachat de Doubleclick...

Source : Abondance

Bureau virtuel en 3D

Posted on mercredi 18 avril 2007 by Stéphane Leprince

Pas moyen de représenter pour l'instant le bazar que j'ai sur mon bureau sur mon bureau virtuel de l'ordi avec Windows...
Mais est le futur nous le prépare comme dans ce projet de bureau virtuel en vrai 3D et même la possibilité de faire des piles de documents, tout ça avec des mouvements de souris et une prise en main qui devrait changer les habitudes de beaucoup de monde.
Dire qu'il y en a qui se plaigne déjà des changements de XP à Vista...

Sauvegarde des jeux PS2 sur disque dur

Posted on samedi 14 avril 2007 by Stéphane Leprince


Avant que je ne perde mon site précédent suite à un oubli de renouvellement de nom de domaine chez Lycos qui m'a valu la perte du nom mais surtout la suppression de mon compte d'hébergement et les fichiers hébergés, donc mon site, j'avais créé un article sur la procédure pour créer une copie de ses jeux ps2 sur un disque dur que l'on ajoute à la console.
Evidemment, je vous reprécise que vous devez avoir le jeux original en votre possession et que si vous télécharger un fichier image (iso) par emule par exemple d'un jeux, vous êtes dans l'illégalité complète si vous n'avez pas l'original et que vous ne l'avez donc jamais acheté...
Voilà, ça c'est fait, vous le saviez déjà de toute façon!

Parce qu'il est vrai que pucer sa PlayStation 2 est cher et dans l'absolu pas tres sécurisé, la console pouvant toujours en prendre un coup suite à cette manipulation douteuse. Sans compter que suite à un pucage la garantie saute..

C'est pourquoi je vous propose un petit tuto sur le HDadvance, comment ça marche, ses qualités par rapport à un pucage de console.


I) Qu'est ce que c'est ?


Le HDAdvance est un système permettant de lire des jeux PS2 sur un disque dur que l'on integre à la console. Il est également possible de copier les jeux PS2 sur ledit disque dur et evidemment d'y mettre bon nombre d'isos trouvées sur le net. Ne le cachons pas, c'est surtout cette derniÀ¨re option qui nous interesse.


II) De quoi ais-je besoin ?


1/ Le HDadvance. Trouvable sur www.chipspain.com à l'URL suivante : http://www.chipspain.com/product_i [...] cts_id=249 pour la somme de 26.95?.





Attention, il faut se procurer le HDadvance correspondant à sa version de PS2. Pour 90% des gens il faut donc prendre le PAL (car disposant d'une PS2 française), mais pour quelques exceptions il faut le prendre en version US ou JAP selon le cas.

2/ L'adaptateur réseau officiel PS2. Trouvable un peu partout sur le net à un prix avoisinant souvent les 45?, sur www.ldlc.fr par exemple à l'URL suivante : http://www.ldlc.fr/fiche/PB00023237.html

Sachant qu'il existe 2 versions de l'adaptateur mais que les 2 fonctionnent avec le HDadvance.





3/ Un disque dur. Attention pas n'importe lequel. Un disque de 40, 80 ou 120 GB. Il n'est recommandé de ne prendre ni un Western Digital ni un Seagate, ne rentrant pas forcement parfaitement dans l'adaptateur réseau de la PS2.

Un Maxtor ou un Hitachi est donc conseillé, on peut en trouver à Paris pour à peu près 50-60?.

Si vous avez peur de vous tromper vous pouvez commander un disque dur officiel PlayStation 2, dans ce cas là il n'y aura aucune crainte quand à la compatibilité.

4/ Une PlayStation 2 avec un port nommé "Expansion Bay" à l'arrière. Toutes les PS2 l'ont sauf 3 modeles japonais (SCPH 10000, SCPH 15000 et SCPH 18000).

Préalable:

Vous devez pour faire les manips ci dessous, déjà avoir en votre possession:

  • un disque dur de type Maxtor que vous branché sur un adaptateur réseau PS2
  • le disque HDAdvance pour démarrer votre console
La procédure:

  • Déclipser le cache arrière de la PS2 destiné à recevoir l'adaptateur réseau, le port "Expansion Bay".
  • Vérifiez la position du jumper du disque dur, (doit être en master).
  • Brancher le disque dur sur l'adaptateur réseau. (brancher sans forcer, bien visser ensuite)
  • Démarrer la console avec le CD HDadvance
  • Après quelques secondes un ecran s'affiche disant qu'il va formatter le disque dur présent dans la console. En fait le loader fait un formatage particulier au disque dur, afin qu'il soit au format PS2.
  • Une fois le formatage fini, vous arrivez dans un autre écran qui est en fait le menu du jeu.
  • Dans la fenetre de gauche se trouvent les noms des jeux sur le disque dur (aucun pour le moment donc), celle d'en haut à droite contient les options et celle du bas les statistiques : taille sur le disque dur du jeu PS2 mit en surbrillance, taille totale du disque dur et taille restante sur celui ci.
  • A partir des options vous pourrez lancer des images de jeux PS2 ("Run" ), convertir des jeux originaux PS2 sur le disque dur ("Convert" ), supprimer des images de jeux PS2 ("Delete" ) ou encore les renommer ("Relabel" ).
  • Le tri des jeux dans la fenetre de gauche est automatiquement fait par ordre alphabétique.
  • La suite depend de ce que vous souhaitez faire.
  • 1/ Créer une copie d'un jeu PS2 sur le disque dur
  • Selectionnez l'option "Convert" . Cela va declencher un message vous demandant d'inserer le jeu que vous désirez copier. Une fois celui-ci inséré, sélectionnez "Go", nommez le jeu comme vous le désirez et un peu de patience.
  • Pour vous donner un autre d'idée j'ai mit une demi-heure à copier "Dead Or Alive 2" sur le disque dur.
  • Après cela le jeu en question est dans la liste de gauche, rejoignant tout naturellement les autres, prêt à être lancé à son tour.
  • 2/ Lancer une image de jeu PS2
  • Ce qui nous intéresse le plus.
  • Alors après le formatage, eteignez la console et débranchez délicatement l'adaptateur réseau et le disque dur accroché à celui-ci.
  • Branchez ce disque dur sur votre PC comme vous le faites d'habitude.
  • Le disque dur sera bien détecté dans le BIOS au démarrage mais pas sous Windows, pas d'inquiétude c'est normal, cela vient du fait qu'il est formaté au format PS2.
  • Pour cela lancez le programme WinHIIP, disponible ici http://www.metagames-fr.com/fichier.php?id=273 dans sa version 1.6.3 (167 Ko). Grâce à celui ci, vous pouvez facilement copier des images de jeux PS2 sur le disque dur.
  • Ensuite débanchez le disque dur de votre PC, remettez le en master si ce n'était plus le cas, reconnectez le à l'adaptateur réseau PS2 et rebranchez le tout à la console.
  • Relancez la console avec le CD HDadvance et magie, le jeu en question est dans la liste dans la fenetre de gauche.
  • V) Quels sont les avantages du HDadvance ?
  • - Pas de manipulation directement sur le hardware de la console, donc plus sûr et ne fait pas sauter la garantie de celle-ci.
  • - Permet de stocker de nombreux jeux PS2 sur un même disque dur, sans avoir à changer de DVD à chaque fois que l'on veut changer de jeu.
  • Pas besoin de graver un DVD par jeu donc, ce qui economise le prix des DVD vierges.
  • - Vitesse de chargement multipliée par 8. En effet le jeu se lance directement à partir d'un disque dur et non d'un DVD.
  • - Compatible avec 95% des jeux, liste disponible ici : http://www.ifrance.com/_bdd/HDLOAD [...] LOADER.bdd
  • - Si l'on compte sans les frais de port celà fait 60? (disque dur) + 27? (HDadvance) + 46? (adaptateur PS2) en admettant que l'on possède déjà une PS2. Soit un total de 133?.
(tuto par lukas31470 extrait du forum du site infos-du-net.com)

Calendrier à consulter et éphéméride

Posted on jeudi 12 avril 2007 by Stéphane Leprince


Lorsqu'on a besoin de compter un nombre de semaines étalées sur l'année, rien ne vaut un bon vieux calendrier cartonné accroché à son mur du bureau sur lequel avec son petit doigt, on petit compter tranquillement des périodes. Les agendas logiciels comme Outlook ou les calendriers en ligne comme Google Calendar ne proposent que des affichages maximum par mois et cela ne répond pas au besoin évoqué plus haut.
Le site éphéméride.com va vous permettre de décrocher votre calendrier du mur (si vous avez encore la chance de rencontrer des commerciaux sympatiques qui veuillent bien vous en donner) et d'avoir en ligne un vrai calendrier annuel. Le site vous propose aussi d'avoir accès aux dates des jours fériés, vacances scolaires, fêtes ...de quoi alimenter votre agenda électronique. Moins beau que le calendrier Pirelli, mais bigrement utile et pratique à utiliser.

Séries en streaming sur Dailymotion

Posted on lundi 9 avril 2007 by Stéphane Leprince


Comme Ebay, Dailymotion ne peut pas contrôler tout le contenu déposé par ses utilisateurs, et c'est tant mieux.
Pour respecter les droits d'auteurs, le site de vidéo en ligne bloque les contenus des films et séries déposés par ses abonnés. Mais les fans de série américaines contournent ces limitations en découpant les épisodes de séries en plusieurs parties et diffusent les liens vers ces vidéos à partir de site web. Il faut faire vite quand même car certains épisodes sont repérés et supprimés parfois rapidement (pensez à vous installer VideoDownloader sur Firefox pour enregistrer les épisodes sur votre disque dur de votre ordinateur portable histoire de les avoir avec vous partout même sans accès à votre borne wifi préférée).
Une fois trouvés ces sites web, index des séries, c'est que du bonheur! De Heroes au destin de Lisa, vous trouverez de tout, comme par exemple...la saison 6 de 24h Chrono (jetez y un oeil en cliquant ici). Méfiance quand même à l'addiction à Heroes, la série de l'année apparemment qui sera diffusé seulement cet été sur TF1 en France.

Des liens vers des épisodes:

Tutos Joomla: héberger Joomla chez Free et Sauvegarder ses bases mysql Joomla

Posted on dimanche 8 avril 2007 by Stéphane Leprince

V'la deux tutos qui sont bien faits et utiles pour toutes personnes qui souhaite se lancer dans l'aventure Joomla et souhaitent tester cette plateforme CMS.
Sur le site de Joomlabox vous trouverez deux tutoriels bien clairs qui vous permettront d'apprendre à installer Joomla chez le fournisseur d'accès Free et son offre gratuite d'hébergement 10 Mo et comment sauvegarder et restaurer (même d'automatiser tout ça) votre base mysql de votre site Joomla.


Honte à moi d'être un sâle recopieur, de me reposer sur les autres pour alimenter ce site, mais je partage ce que je copie!
Mais c'est le bonheur du blog perso sans prétention...
D'abord, ma source...toujours cette fameuse DarkVadoc qui est bien une des seul du moment à oser déposer un petit commentaire sur Yooztic. Ensuite sa source à elle, le quotidien Le Monde et l'auteur de l'article que je vous copie colle ici, Eric Nunès qui je l'espère ne m'en voudra pas trop de l'avoir copié sur ce blog.
L'article vous explique d'où vient le terme blog, une explication que je n'avais jamais entendu auparavant, donc j'espère que pour vous aussi, ce sera une nouveauté!
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L'article:
Tout d'abord,
A l'origine du mot "blog", un rondin de bois jeté à la mer

LE MONDE 03.04.07
'étymologie d'un mot révèle parfois des détours inattendus sur le long chemin de ses usages à travers le temps.
"Blog", cet anglicisme, ce quasi-inconnu au début du XXIe siècle, désigne aujourd'hui un phénomène de société à l'écho planétaire : la publication sur le réseau des réseaux de "carnets extimes", l'inverse des carnets intimes.
Pour se convaincre de l'ampleur de cet univers couramment appelé "blogosphère", il suffit d'une requête sur Google, le numéro un de la recherche sur Internet. Aux quatre lettres de "BLOG", le moteur de Mountain View renvoie un résultat vertigineux : 1,2 milliard d'occurrences.
"Blog" a un de ces longs destins cahoteux, dont la tangente numérique date d'une dizaine d'années. A sa genèse, il ne s'agissait que d'une simple pièce de bois ("log" en anglais). Les premiers marins jetaient un rondin par-dessus bord, à la poupe de leur bateau. En comptant le temps écoulé pour qu'il s'éloigne, ils estimaient ainsi la vitesse du navire.
Plus tard, les navigateurs affinèrent le système en reliant à une corde des pièces de bois à espaces réguliers. Les "logs" jetés à la mer permettaient de mesurer plus précisément l'allure du bateau. Les données collectées étaient soigneusement consignées sur un carnet de bord, un journal de logs.
Le terme "log" s'écarte ainsi de son sens originel et commence sa seconde vie : il désigne dès lors les carnets de bord des capitaines aux longs cours.
Au début du XXe siècle, les hommes partent à la conquête du ciel, et "log" gagne les airs sous la forme des journaux de bord des pilotes de l'aviation.
Au milieu des années 1990, les nouveaux espaces à conquérir sont sur le réseau des réseaux : le Web. Les pionniers de la Toile (pour la plupart américains) y ouvrent des journaux personnels, à destination de la naissante communauté des internautes, des "web-logs". De la contraction de ces deux termes naît le mot-valise "blog".
Blog serait donc né outre-Atlantique. Une tache dans la langue française que la commission générale de terminologie et de néologie s'est efforcée, en vain, d'effacer.
Le 9 juin 2005, le ministère de l'éducation nationale publiait, sur son bulletin officiel, sa décision de remplacer "blog" par "bloc-notes", voire "bloc" pour sa forme abrégée.
Une décision tardive : les blogs francophones se comptaient déjà par millions, notamment grâce au succès qu'ils remportent encore auprès des adolescents. Les Québécois ont, pour leur part, préféré franciser l'existant : blog est devenu "blogue".
Reste que les déclinaisons de ce qui n'était qu'une bûche au début de l'histoire sont nombreuses. "Bloguer" est devenu un verbe et "blogueur" un nom commun. "Blouquin" désigne un livre décliné sur un blog ou inversement le contenu d'un blog déjà publié dans un livre. Un "mlog" est un blog adapté à des supports mobiles (téléphone mobile, PDA...), un "vlog" diffuse de la vidéo, un "flog" publie essentiellement des photographies.
Plus fantaisiste, Alain, blogueur amoureux des lettres, a sur ses pages "un garde-mots comme d'autres ont un garde-manger" :
http://blog.legardemots.fr. Il y collecte et invente des néologismes et se voit "blogonaute, voyageur intrépide plongé dans la bloguespace". La "bloguitude" n'est plus très loin.

Eric Nunès
Article paru dans l'édition du 04.04.07

Méthode de Romain pour chercher sur Google

Posted on mardi 3 avril 2007 by Stéphane Leprince

A la recherche d'un mp3 en particulier (et sans droit d'auteur dessus, pour respecter la loi évidemment), mon bon Romain de collègue qui va me manquer une fois l'été arrivé, vous propose de trouver...
Copier-coller ça dans la zone de recherche Google:
{-inurl:(htmhtmlphp) intitle:"index of" +"last modified" +"parent directory" +description +size +(wmamp3) "Le nom de l'artiste "}
Remplacer le "nom de l'artiste" par le nom de l'artiste pour lequel vous cherchez un morceau, et observez la puissance de Google!
Merci Romain